?

 

Alors là ... à lire vraiment ...
Les temps sont durs, le pays est très endetté, tout le monde vit à crédit.
Arrive un riche touriste allemand. Il arrête sa belle grosse voiture devant l'hôtel de la ville et entre.
Il pose un billet de 200 euros sur le comptoir et demande à voir les chambres disponibles afin d'en choisir une pour la nuit.
Pour 200 euros, le propriétaire de l'établissement lui donne toutes les clés et lui dit de choisir celle qui lui plaira.

Dès que le touriste a disparu dans l'escalier, l'hôtelier prend le billet de 200 euros, file chez le boucher voisin et règle la dette qu'il a envers celui-ci.
Le boucher se rend immédiatement chez l'éleveur de porcs à qui il doit 200 Euros et rembourse sa dette.
L'éleveur, à son tour, s'empresse de régler sa facture à la coopérative agricole où il se ravitaille en aliments pour le bétail.
Le directeur de la coopérative se précipite au café régler son ardoise.
Le barman glisse le billet à la prostituée qui lui fournit ses services à crédit déjà depuis un moment.
La fille, qui occupe à crédit les chambres de l'hôtel avec ses clients, court acquitter sa facture chez notre hôtelier qui pose le billet sur le comptoir, là où le touriste l'avait posé auparavant.
Le touriste Allemand redescend l'escalier, annonce qu'il ne trouve pas les chambres à son goût, ramasse son billet et s'en va.
Personne n'a rien produit ! personne n'a rien gagné ! mais plus personne n'a de dette !!!
Voilà pourquoi, en ce moment, les banques n'ont aucun intérêt à vous prêter de l'argent.
Les banques s'enrichissent tant que vous êtes endettés...

Partager les fruits du capital social collectif pour mieux répartir le travail

partage-revenu-travail
En réponse à Jean-Marie Harribey, Jacques Berthillier souligne que le revenu d’existence n’est pas incompatible avec une intégration sociale par le travail, ni avec l’idée de la réduction et du partage du temps de travail.
Dans une tribune parue sur Le Monde.fr, Jean-Marie Harribey, économiste d’ATTAC, reprochait aux partisans du revenu d’existence de commettre un « impensé sur le travail ». Jean-Eric Hyafil a répondu à son tour sur Le Monde en expliquant l’approche du revenu de base par les biens communs. Suite à une nouvelle réponse d’Harribey sur son blog, Jacques Berthillier de l’Association pour l’Instauration d’un Revenu d’Existence apporte un complément de réponse que nous republions ici.
En premier lieu, si Jean-Marie Harribey donne, à juste titre, une place prépondérante au travail en tant que facteur essentiel dans la création de la richesse, il néglige, cependant, l’apport du travail des générations antérieures, pourtant déterminant, sur notre efficacité collective, notre productivité, notre aptitude à créer, à innover.
À notre naissance nous sommes immergés dans la société qui nous accueille, avec son histoire, ses coutumes, sa culture, ses connaissances, ses infrastuctures, son organisation économique et sociale, son mode de gouvernement… En fait, avec ce que l’on nomme aujourd’hui le « capital social collectif ». Or, on tend à oublier qu’il conditionne dans une large mesure nos performances. Sinon, comment expliquer les différences d’efficacité dans le travail selon le niveau de développement des nations ? À effort égal, nous n’obtenons pas le même résultat selon le capital social collectif dont nous héritons.

« Nous héritons d’un capital social collectif sans y avoir contribué »

Yoland Bresson est le premier économiste à l’avoir mis en exergue. À partir de ses travaux, il évalue le revenu de ce capital collectif à 14% du PIB. Son montant en valeur monétaire est donc propre à chaque pays. À notre naissance nous héritons de ce capital sans y avoir contribué. En revanche, par notre travail et notre intelligence, il est de notre devoir de l’enrichir au bénéfice des générations montantes, afin de leur transmettre une société encore plus performante, libérant davantage l’homme des tâches peu valorisantes, au profit d’activités choisies et d’un temps libre accru, facteurs d’enrichissement et d’épanouissement personnels et collectifs.
Le revenu du capital social collectif dont nous héritons ne peut, au nom de l’équité, être accaparé par quelques privilégiés. Il faut donc le distribuer à chacun de nous en parts égales, tout au long de notre vie, par le biais d’un Revenu d’Existence inconditionnel, c’est-à-dire sans la moindre contrepartie en travail puisque ce revenu dépend, pour l’essentiel, du travail des générations qui nous ont précédées.

Revenu d’existence et partage du travail ne sont pas incompatibles

En second lieu, Jean-Marie Harribey oppose au Revenu d’existence une meilleure répartition du travail. Or, ces deux réformes ne sont nullement incompatibles. Elles sont même nécessaires et complémentaires, surtout si l’on se projette sur un horizon à long terme. Keynes en 1930 pensait qu’en l’an 2000 on ne travaillerait plus que 20 heures par semaine en moyenne. Si sa prévision fut trop optimiste, il n’en demeure pas moins que grâce au progrès de la science et de nos organisations, la durée du travail ne cessera de diminuer, surtout si l’on modère notre consommation pour ne pas épuiser nos ressources rares et polluer encore davantage notre planète.
Quelles en seront les conséquences économiques pour les activités de faible qualification, difficilement mécanisables et pourtant indispensables ? Dans l’hypothèse où, pour ces qualifications, les rémunérations mensuelles seraient intégralement maintenues après réduction du temps de travail (RTT), leur coût horaire augmenterait et sortirait, pour la plupart, de l’acceptabilité du marché. C’est déjà ce que l’on constate pour certains métiers qui ne subsistent que subventionnés ou non payés directement par leurs bénéficiaires.
Pour éviter cet handicap, il faudra donc compenser, au moins en partie, la perte de rémunération mensuelle après RTT des emplois de faible qualification. Le Revenu d’Existence en sera l’un des moyens et il représentera un pourcentage d’autant plus élevé dans les revenus que les revenus d’activité seront plus faibles. C’est ainsi que petit à petit les revenus indispensables aux ménages et au fonctionnement de l’économie seront de plus en plus déconnectés du travail. De façon imagée on peut dire que l’on va progressivement distribuer « le salaire des robots », en réalité le produit du capital social collectif.
Le revenu d’existence augmentera donc naturellement avec le développement de la société et la réduction progressive de la durée du travail. En cela, réduction de la durée du travail et Revenu d’Existence vont de pair et ne s’opposent nullement.


RADIO ÉVEIL, DES ONDES POSITIVES
Description
RADIO ÉVEIL n'est pour le moment qu'une page Facebook,mais le site internet arrive très bientôt.
RADIO ÉVEIL va naître dans une belle énergie collective sur TOULOUSE dans quelques semaines.
ÉVEIL pour l'Éveil des consciences, pour une information différente. Non pas une information d'actualité et de réaction, mais une information sur les actions des citoyens dans leurs professions, leurs passions, leurs hobbies, leurs mouvements ou associations... et ceci dans un but d'informer sur les alternatives possibles à un monde meilleur, pour s'interroger, pour faire naître des passions nouvelles ou simplement approfondir nos connaissances dans des domaines bien trop peu médiatisés.
Voici quelques points d'émissions et de rencontres:
Éducation alternative : Montessori, Steiner, Korczak et autres pédagogies.
Santé alternative : Respiration, Yoga, Tai-Chi, plantes, massage, jeûne, sport, Kiné, CNV, nutrition: (végétarisme, frugivorisme, plantes...)
Des émissions Philo, Psycho, Sophro, Hypnose, Spiritualité, Méditation avec des intervenants de divers branches de métiers.
Alternatives écologiques et Protection de la nature : Énergies propres, Permaculture, Incroyables Comestibles, Toilettes sèches, Compostage, Architecture, Eco-villages...
Mais aussi les SEL (Sytèmes d'Echanges Locaux), les monnaies complémentaires, le Revenu de base, Droit au logement, Décroissance, les coopératives...
Sans oublier les grands thèmes de l'Économie, de la Justice, des Alternatives Démocratiques.
ET beaucoup d'autres sujets qui ne sont pas nécessairement mentionnés dans le présent article.
Une RADIO c'est aussi de la MUSIQUE, et nous sommes déjà plusieurs sur le coup. Des musiciens ou amateurs qui vont vous offrir des perles. Des émissions à thèmes, des interviews de groupes...
Nous allons aussi diffuser des conférences, des slams, des contes, des histoires, des lectures, des micros-trottoirs et de l'impro...
Ceci est un projet en évolution qui demande du temps et surtout beaucoup de contacts.
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NOS BESOINS:
- Des Bénévoles sur Toulouse... Pour faire QUOI? Mais que savez-vous faire??
Besoin de beaucoup de playlists
- Des partenaires commerciaux en phase avec la dimension éthique et collaborative de la Radio.
- Des idées de financement:
A l'heure actuelle nous hésitons encore sur les divers moyens de faire vivre la radio. Nous recherchons des financements éthiques, alternatifs, innovants...(nous voulons par exemple éviter la pub)
D'ailleurs nous allons très certainement être une SCIC.
Nous cherchons aussi et surtout des gens à interviewer
Pour nous contacter par mail: radio.eveil@laposte.net ou par message privé (plus simple).
Au plaisir de partager avec vous. Et merci pour tout vos encouragements
Station de radio · 44 364 J’aime
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