Denis CHENEAU a fait étape à la maison le vendredi 31 Janvier.
Il était parti depuis une semaine, il compte rejoindre l'Élysée le 28 février.
Au delà du caractère économique et politique qui anime sa dé-marche, Denis applique pour lui même son précepte de « montée en conscience ». Il déborde de sagesse. C'est un optimiste, à l'évidence. Son « coup de folie », son combat du « David contre Goliath », c'est comme un joueur de flûte, non pas celui qui attire les rats pour les noyer, mais pour entrainer l'électeur, le citoyen, l'être humain dans son sillage, pour une quête de bon sens. Ses arguments, je les connais tous, les Latouche, Aries , Rabhi et bien d'autres les ont développés dans leurs livres : remettre l'économie à sa place, placer l'humain devant, le revenu de base, la gratuité des services, le respect de la nature, la « sobriété heureuse » , le partage équitable (quel bel oxymore !) etc... Mais Denis, lui, il applique, il donne l'exemple ! Bien sûr et fort heureusement, il n'est pas le seul. Mais aujourd'hui, il a décidé de passer à l'acte, il monte à la capitale, rencontrer les énarques, les législateurs, décideurs de rien, car marionnettes de ce système moribond.
Il s'émerveille de ses multiples rencontres depuis une semaine, riches de diversité, de respect, de partage. Mais je peux vous assurer qu'il n'arrive pas chez vous les mains vides, elles sont pleines de bonté, d'écoute, de respect, mais aussi d'expérience. Ce n'est à coup sûr pas l'école qui l'a fabriqué ainsi, il fait parti de ceux qui n'ont pu rester dans le train en marche, qui ont dû descendre à la première gare, celle qui débouche sur rien. Alors il a pris son sac à dos et est parti à la rencontre du monde.
Suivez sa trace jusqu'à PARIS, il connait le chemin !
Pascal MARINELLI
Il était parti depuis une semaine, il compte rejoindre l'Élysée le 28 février.
Au delà du caractère économique et politique qui anime sa dé-marche, Denis applique pour lui même son précepte de « montée en conscience ». Il déborde de sagesse. C'est un optimiste, à l'évidence. Son « coup de folie », son combat du « David contre Goliath », c'est comme un joueur de flûte, non pas celui qui attire les rats pour les noyer, mais pour entrainer l'électeur, le citoyen, l'être humain dans son sillage, pour une quête de bon sens. Ses arguments, je les connais tous, les Latouche, Aries , Rabhi et bien d'autres les ont développés dans leurs livres : remettre l'économie à sa place, placer l'humain devant, le revenu de base, la gratuité des services, le respect de la nature, la « sobriété heureuse » , le partage équitable (quel bel oxymore !) etc... Mais Denis, lui, il applique, il donne l'exemple ! Bien sûr et fort heureusement, il n'est pas le seul. Mais aujourd'hui, il a décidé de passer à l'acte, il monte à la capitale, rencontrer les énarques, les législateurs, décideurs de rien, car marionnettes de ce système moribond.
Il s'émerveille de ses multiples rencontres depuis une semaine, riches de diversité, de respect, de partage. Mais je peux vous assurer qu'il n'arrive pas chez vous les mains vides, elles sont pleines de bonté, d'écoute, de respect, mais aussi d'expérience. Ce n'est à coup sûr pas l'école qui l'a fabriqué ainsi, il fait parti de ceux qui n'ont pu rester dans le train en marche, qui ont dû descendre à la première gare, celle qui débouche sur rien. Alors il a pris son sac à dos et est parti à la rencontre du monde.
Suivez sa trace jusqu'à PARIS, il connait le chemin !
Pascal MARINELLI
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